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Tempête : trois lycéens grièvement blessés par la chute d’un arbre

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Les trois jeunes lycéens bretons sont "polytraumatisés". 28  départements sont en alerte aux vents violents dont la Charente-Maritime, la Dordogne, la Gironde et la Charente

Comme annoncé par Météo-France qui a placé 28 départements en alerte, des vents violents balayent l’Ouest de la France. Il a été recensé jusqu’à 191 km/h à Ouessant dans le Finistère.
Dans ce même département, trois lycéens ont été grièvement blessés par la chute d’un arbre dans leur établissement scolaire de Carhaix. Les trois jeunes, âgés de 17 ans pour deux d’entre eux et de 18 ans pour le troisième, sont "polytraumatisés", mais leurs jours ne sont pas en danger.
Les lycéens ont été surpris par la chute de l’arbre au moment où les cours allaient commencer au lycée Paul Sérusier de Carhaix. L’un d’entre-eux a réussi a s’extraire, tandis que les trois autres "sont restés bloqués sous le tronc".

"Les vents ne faiblissent pas"

Quelques 190 000 foyers étaient privés d’électricité dans la matinée en Bretagne, dont 80 000 dans le Finistère, autant dans le Morbihan et 15 000 autres à la fois dans les Côtes-d’Armor et en Ille-et-Vilaine, a indiqué Enedis dans un communiqué.
"La situation pourrait encore être amenée à évoluer, car les vents ne faiblissent pas", indique le communiqué d’Enedis. 

Plus qu’une tempête, un ouragan

Une chose est sûre, le vent a atteint des vitesses ahurissantes en Bretagne. Si le vent est supérieur à 118 km/h en moyenne sur 10 minutes, il s’agit d’une force 12 Beaufort, c’est-à-dire un ouragan. "Ce lundi 6 mars 2017, avec 119 km/h de vent moyen sur 10 minutes, le stade de l’ouragan (force 12 Beaufort) a été atteint à Ouessant", souligne Keraunos, l’Observatoire français des orages et tornades.
http://www.sudouest.fr/2017/03/06/tempete-zeus-trois-lyceens-grievement-blesses-par-la-chute-d-un-arbre-3252780-6110.php
 

Soupçons d'empoisonnements à Besançon : une plainte déposée dès 2009 par la Polyclinique

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La mise en examen d'un médecin-anesthésiste de la clinique Saint-Vincent, révélée ce lundi par le parquet de Besançon, fait l'effet d'un séisme au sein de la communauté des professions de santé de la région.
Cet homme de 45 ans est soupçonné par la police d'avoir sciemment empoisonné sept de ses patients, sur une période allant de 2008 à 2017. Cinq d'entre eux avaient pu être réanimés, deux ont péri.
Après avoir été déféré devant le parquet, le médecin a été placé sous contrôle judiciaire, évitant (de peu) la détention provisoire. Il nie être responsable des injections en question. Actuellement employé à la clinique Saint-Vincent, ce père de famille avait également exercé à la Polyclinique de Franche-Comté, où ses agissements, là aussi, posent question selon les enquêteurs.

Trois événements périopératoires graves en 2009

Soucieuse sans doute d'atténuer la tempête de défiance qui guette, la Polyclinique a tenu à réagir via un communiqué de presse, diffusé dès lundi à 23h20, alors que son placement sous contrôle judiciaire n'avait encore pas été acté. " Trois événements graves périopératoires ont eu lieu en 2009 sur une courte période, tous trois ont été efficacement réanimés sans décès à déplorer. Les circonstances de ces événements ont donné lieu à une enquête interne. Ces faits troublants ont conduit l'équipe médicale et la direction à avertir les autorités [...]. Une plainte avait été déposée auprès du Procureur de la République", rappelle le président de la Conférence médicale d'établissement de la Polyclinique., le docteur Pascal Petit
" Depuis ", ajoute-t-il, " aucun fait de cette nature n'a été à déplorer à la Polyclinique. Le praticien mis en cause n'a exercé dans notre établissement que sur une courte période en 2009. Les faits récents faisant l'objet d'une enquête ne concernent pas notre établissement. La communauté médicale, sous le choc, se tient à la disposition des enquêteurs. "

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/03/07/soupcons-d-empoisonnements-a-besancon-la-polyclinique-reagit

Paris : suicide d’un agent à l’hôpital Cochin

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Le service dans lequel il travaillait connaissait "des difficultés persistantes" d’ordre fonctionnel et relationnel

Un agent de l’hôpital Cochin à Paris s’est suicidé mardi matin sur son lieu de travail, a indiqué la direction de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui évoque un "événement tragique".
La direction de l’AP-HP reconnaît que dans le service de cet agent, "des difficultés fonctionnelles et relationnelles avaient été identifiées", conduisant "à une enquête administrative menée par la DRH, à l’initiative de la direction du groupe hospitalier Paris Centre (dont dépend l’hôpital Cochin) et à une expertise du CHSCT".

Audit en cours

"La situation semblait moins aiguë", mais en raison de "difficultés persistantes, il avait été décidé par le directeur du groupe hospitalier et le directeur général de procéder à un audit". "La première réunion a eu lieu la semaine dernière", selon la direction.
"L’ensemble de ces éléments permettra de déterminer l’existence de liens entre les difficultés relevées dans le service et ce drame", poursuit l’AP-HP.
Face à la colère du secteur et après le suicide d’au moins cinq infirmiers l’été dernier, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait dévoilé début décembre un plan pour l’amélioration de la qualité de vie au travail des hospitaliers
http://www.sudouest.fr/2017/03/07/paris-suicide-d-un-agent-a-l-hopital-cochin-3256297-4696.php

Faux agent communal mais vrai cambrioleur

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Vendredi, une dame âgée déposait plainte pour le vol d’un bracelet en or d’une valeur 1 600 € à la brigade de Saint-Mihiel. Elle expliquait aux gendarmes que ce jour-là elle avait reçu la visite d’un homme, mandaté par la commune de Saint-Mihiel pour vérifier son chauffage. Il n’en a pas fallu plus aux gendarmes pour sentir l’arnaque à la fausse qualité pour mieux voler.
Lors de l’enquête de voisinage, ils ont découvert qu’une dizaine de personnes âgées avaient reçu la visite de ce soi-disant agent communal venant vérifier les chauffages et en toute confiance lui avaient ouvert leurs portes.
Une dame a ainsi raconté qu’elle avait surpris l’homme en train de fouiller dans sa chambre, puis dans le sous-sol où il avait même déverrouillé une porte, probablement pour revenir.
Chez une autre personne il a demandé et obtenu de l’argent pour le diagnostic réalisé.
Le faux agent, un Sammiellois de 22 ans, défavorablement connu, a rapidement été identifié. Il a été interpellé lundi, placé en garde à vue. Il a reconnu ces faits ainsi qu’une tentative de vol par effraction commise la semaine précédente.
Ce mardi, le procureur de la République a décidé de son incarcération d’ici son jugement en comparution immédiate jeudi. Il aurait dû être jugé ce mardi pour deux autres affaires de vols commis en 2016.
Lors de la perquisition à son domicile, les gendarmes ont retrouvé le bracelet en or.
Une nouvelle fois, les gendarmes appellent les particuliers à la plus grande prudence en cas de démarchage à domicile
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2017/03/08/faux-agent-communal-mais-vrai-cambrioleur

Avalanche en Savoie: un mort et deux disparus

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Un surfeur néerlandais est mort et deux autres de ses compatriotes sont portés disparus après une avalanche survenue hier en fin d'après-midi dans le secteur de Valfréjus, en Savoie, a indiqué aujourd'hui la gendarmerie locale
Alertés tardivement, les gendarmes du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Modane, sont intervenus à la nuit tombée et ont retrouvé le corps d'un jeune surfeur néerlandais.
Des opérations étaient en cours ce matin pour tenter de retrouver les deux autres surfeurs.
Selon la gendarmerie, les trois jeunes Néerlandais auraient quitté le domaine balisé de la station savoyarde mardi dans l'après-midi pour s'aventurer dans le couloir du Seuil, zone réputée dangereuse et avalancheuse.
Hier matin, une avalanche sur le domaine skiable de Tignes, également en Savoie, avait traversé une piste de la station alpine, sans faire de victime
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Charente : un car transportant des enfants se renverse dans un fossé

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Un car du Conseil départemental de la Charente-Maritime s’est renversé ce mardi, vers 17 heures, à Louzac. Quatre enfants ont été légèrement blessés

Un car "Les Mouettes" du Conseil départemental de la Charente-Maritime a quitté la route et a terminé sa course dans un fossé en contrebas de la RD 159 à Louzac-Saint-André ce mardi vers 17 heures. Pour une raison encore inconnue, la conductrice a perdu le contrôle du véhicule.
À bord, une vingtaine d’enfants. Quatre ont été légèrement blessés et pris en charge par les secours. Les 16 autres et la conductrice sont indemnes
http://www.sudouest.fr/2017/03/07/charente-un-bus-transportant-une-vingtaine-d-enfants-se-renverse-dans-un-fosse-3256654-813.php

Éboulement de Culoz: 88 maisons évacuées... 75 personnes déplacées!

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Ce mercredi 8 mars, à sept heures, un éboulement rocheux s’est produit à Culoz sur la RD120 conduisant au col du Grand Colombier.
Dans un premier temps une vingtaine de maisons étaient évacuées, puis se furent 40 et à, 12h30, ce sont 88 maisons au total qui sont vidées de leurs habitants 

Au fur et à mesure que les heures passent, la menace d'un nouvel effondrement rocheux grandit et le périmètre de sécurité est élargit. Aussi ce sont donc 88 habitations qui se retrouvent situées en zone dangereuse.
Les habitants concernés, 60 adultes et 15 enfants ont été regroupés à la salle des fêtes de Culoz et sont assistés par les personnels de la Croix Rouge. Les élèves de l’école primaire ont été pris en charge par leurs parents.
Les forces de sécurité ainsi que les pompiers sont sur place pour sécuriser le périmètre.
Le maire de Culoz a pris un arrêté interdisant l’accès aux sentiers de randonnée situés sur la zone instable. Les autres communes du massif ont été informées.
Des moyens aériens sont mobilisés pour évaluer la situation : un hélicoptère et un drone survolent la zone. Un expert risque naturel du bureau de recherches géologiques et minières de Lyon s’est déplacé.
Des déviations routières ont été mises en place par les services du Conseil départemental et de la gendarmerie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=auvergne-rhone-alpes

Béziers : le conducteur qui a foncé sur un policier s'est rendu

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Après avoir sérieusement blessé un policier aux jambes à La Devèze début mars, il était en cavale.

Le jeune homme, qui a volontairement et sérieusement blessé un policier aux jambes mercredi 1er mars dans le quartier de La Devèze, s'est constitué prisonnier ce mardi. Il a été présenté ce mercredi devant le tribunal de Béziers en comparution immédiate.

Le policier avait fait usage de son arme pour se dégager

Les faits s'étaient déroulés mercredi soir, un policier de la Bac de Béziers avait été blessé en opération. Alors qu'elles faisaient leur patrouille dans le quartier de La Devèze, les forces de l'ordre étaient tombées, par hasard, sur une transaction en cours de vente de stupéfiants. Ils se sont garés derrière la voiture du mis en cause pour procéder à un contrôle.
Le conducteur de la voiture, une Clio, a alors tenté de fuir. Il a fait plusieurs manœuvres, avant et arrière, pour se dégager car il était coincé par le véhicule de la Bac. C'est là qu'il a percuté le policier en le blessant aux jambes. Ce dernier, pour se protéger, a alors fait usage de son arme en visant les pneus de la voiture. 
http://www.midilibre.fr/2017/03/08/beziers-le-conducteur-qui-a-fonce-sur-un-policier-s-est-rendu,1476389.php

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Une maison est en flammes dans le centre-ville de Plaisance-du-Gers après l'explosion ce matin vers 7h30 d'une bonbonne de gaz , au 78 rue de l'Adour. Une sexagénaire est grièvement blessée . Une série d'explosions violentes. Les secours ont été alertés à 7h32. À leur arrivée la maison d'habitation, d'une superficie de 150 m2, était entièrement embrasée et une explosion consécutive à l'incendie a été entendue par plusieurs témoins.
Selon le chef de salle du CTA-Codis, l'occupante de la maison, une femme de 70 ans, a été gravement brûlée sur 80% de son corps. De nombreux moyens sont sur les lieux: des engins de lutte incendie des centres de secours de Plaisance, Riscle, Nogaro et Marciac ainsi que des moyens médicaux dépêchés par les SMUR d'Auch et Tarbes. La gendarmerie est sur place ainsi qu'une équipe d'ERDF.
La maison est totalement dévastée par l'explosion et l'incendie. D'importants moyens ont été mis en œuvre, y compris un hélicoptère pour évacuer la blessée
http://www.ladepeche.fr/communes/plaisance,32319.html

Un couple agressé dans sa voiture, l'homme enlevé

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La police judiciaire de Pointe-à-Pitre a été saisie, jeudi, après «l’agression violente d’un couple» et «la disparition d’un homme».
Les faits se sont déroulés dans la nuit de mercredi à jeudi alors que le couple était en stationnement. Un coup de feu a été tiré côté conducteur.
La jeune femme a été «légèrement blessée par balle et l’homme a été emmené de force, sous la menace, par trois individus en voiture». L’homme, âgé de 28 ans, n’avait pas été retrouvé jeudi soir.
Les enquêteurs s’interrogent sur un lien éventuel entre cette disparition et «le passé judiciaire chargé de l’individu» enlevé.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2017/03/10/un-couple-agresse-dans-sa-voiture-l-homme-enleve

Seine-Saint-Denis: un homme abattu d'une balle dans la tête

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Un jeune homme de 19 ans a été abattu d'une balle dans la tête à l'Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris de source proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien.
Le jeune homme, qui n'était pas connu des services de police, a été tué dans le hall d'un immeuble, pour des raisons qui restent à déterminer, a précisé cette source.
L'auteur des faits n'a pour l'heure pas été interpellé, a-t-elle ajouté. L'enquête a été confiée à la police judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

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Un élève âgé de 15 ans a été placé en garde à vue après avoir blessé au visage l'une de ses enseignantes en lui lançant une chaise, hier matin dans son collège d'Agen. Cette enseignante, âgée de 55 ans, a eu au moins une dent cassée et souffre de contusions au visage. Elle a passé la nuit en observation à l'hôpital.
Scolarisé en classe de 3e au collège Paul Dangla d'Agen, l'adolescent n'est pas connu de la justice ou pour des faits de violence mais serait "fragilisé" depuis la mort de son père d'un cancer l'an dernier, a précisé une source policière. Le collégien entretenait des relations tendues avec sa professeur de musique, une situation que la mère de l'enfant avait signalée à la direction de l'établissement.
» Lire aussi - Les agressions contre le corps enseignant se multiplient
Selon les premiers éléments de l'enquête, cette enseignante a fait hier matin une remarque à l'adolescent, qui l'a mal pris. Il aurait alors menacé sa professeur de lui jeter une chaise à la figure et dit avoir "craqué" lorsque celle-ci l'a mis au défi de le faire, a-t-on expliqué de même source. L'enfant a été interpellé dans l'enceinte du collège par la police et placé en garde à vue au commissariat d'Agen, garde à vue qui a été prolongée ce matin sur décision du Parquet.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Une voiture de gendarmerie impliquée dans un accident sur l'A43

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Vers 10H30, ce vendredi matin, un accident impliquant trois véhicules a eu lieu sur l'A43 dans le sens Chambéry-Grenoble au kilomètres 104.8.

Cinq personnes étaient impliquées dans cette collision parmi lesquels trois gendarmes. Deux d'entre-eux sont sortis indemnes de l'accident alors que leur troisième collègue a été blessé légèrement.
Deux autres victimes sont à déplorer. Une personne blessée légerement et une plus gravement, incarcérée dans son véhicule.
Les secours sont arrivés rapidement sur les lieux. L'intervention est toujours en cours.

La circulation a été coupée sur l'une des voies.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/savoie

Il avait tué un braqueur en fuite: le policier condamné

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Acquitté en première instance, un gardien de la paix de 37 ans qui était jugé en appel pour avoir tué un détenu en cavale d’une balle dans le dos a été condamné vendredi à 5 ans de prison avec sursis par la cour d’assises de Paris.

La légitime défense pas retenue

Au terme de six heures de délibéré, la cour a répondu «non» à la question de savoir si Damien Saboundjian avait agi en état de légitime défense, ce qui veut dire qu’elle l’a jugé responsable pénalement de la mort d’Amine Bentounsi le 21 avril 2012 à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).
L’annonce de sa condamnation a été accueillie par une explosion de joie à l’extérieur de la salle d’audience où s’étaient rassemblés une centaine de militants anti-violences policières, venus soutenir la famille Bentounsi.

Damien Saboundjian a «agi par panique, et non en riposte»

Cette fois, la cour a souscrit à l’analyse du parquet qui estimait que Damien Saboundjian avait «agi par panique, et non en riposte», quand il avait tiré ce soir-là sur Amine Bentounsi: autrement dit, que les «conditions de la légitime défense n’étaient pas réunies».
Elle a suivi exactement les réquisitions de l’avocat général en le condamnant à une peine de cinq ans de prison avec sursis ainsi qu’à une interdiction de port d’arme d’une même durée.

Tué d'une balle dans le dos

En prison pour des faits de braquage, Amine Bentounsi, 28 ans, était recherché pour s’être fait la belle à la faveur d’une permission deux ans plus tôt. Avisée de sa présence à Noisy-le-Sec, une patrouille s’était lancée à sa poursuite. Damien Saboudjian avait fait feu à quatre reprises sur le fuyard, qui avait été atteint mortellement d’une balle dans le dos, le soir du 21 avril 2012.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2017/03/11/il-avait-tue-un-braqueur-en-fuite-le-policier-condamne

Empoisonnements à l'hôpital: 20 morts suspectes étudiées

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Un médecin-anesthésiste a été mis en examen en début de semaine, accusé d'avoir empoisonné au moins 7 patients à Besançon. Deux d'entre eux sont morts.

Un médecin-anesthésiste de 47 ans, qui a exercé dans deux hôpitaux de Besançon, a été mis en examen lundi, suspecté d'avoir empoisonné au moins 7 de ses patients. Deux d'entre eux sont décédés.
Les conjoints des patients décédés témoignent
Damien venait pour une ablation d'un rein, Laurence s'était fracturée l'épaule. Le premier est décédé d'un arrêt cardiaque en octobre 2008, la seconde en avril 2016. Ils seraient les deux victimes de l'anesthésiste bisontin.
Leurs conjoints, retrouvés par nos confrères de L'Est républicain, témoignent.
«Pour empoisonner des gens comme ça, il faut être barjot !»
«Laurence avait fait une chute à ski quelques semaines plus tôt en février et s’était blessée à cette épaule. Elle était sportive, en parfaite santé, mère de deux enfants. Le jour de l’opération, je stressais pour elle car j’ai horreur des hôpitaux. Pour elle, podologue depuis trente ans, c’était l’inverse : confiance absolue», explique son époux. Puis: «La clinique m’a prévenu qu’il y avait eu un problème, qu’elle avait fait un arrêt, et qu’elle était transférée au service réanimation de Minjoz (...). Et je me souviens aussi des paroles d’une personne du service du CHU, qui pensait déjà qu’il s’agissait d’une surdose de produits anesthésiques.»
Il ajoute: «Pour empoisonner des gens comme ça, il faut être barjot ! C’est un pervers. Et ça dure depuis neuf ans ? Combien de familles endeuillées ?»
«Je n’avais jamais imaginé un acte malveillant»
«Mais ça m’a fait un choc d’apprendre qu’on suspecte un acte volontaire, j’en ai eu des frissons. Comment on peut jouer avec la vie des gens comme ça ? J’ai toujours eu un doute : Damien était en bonne santé mais est-ce qu’il avait mal réagi à l’anesthésie, est-ce que c’était une erreur médicale ? Je n’avais jamais imaginé un acte malveillant», raconte sa conjointe.
Si le praticien nie les faits, la vice-procureure de Besançon a déclaré mardi lors d'une conférence:  «Au regard de la nature et des doses des substances introduites dans ces poches de perfusion, il ne pouvait s’agir que d’actes volontaires, de nature à entraîner la mort des patients à qui ces substances étaient destinées.»

Du potassium et de l'anesthésique à dose létale

Le médecin aurait introduit du potassium dans une poche de réhydratation, et de l'anesthésique au milieu du paracétamol, à dose létale. Et la magistrate n'excluait pas que le nombre de victimes du médecin s'allonge.

40 cas suspects examinés par les juges

Selon le parquet, cité par nos confrères de L'Est républicain, ce sont désormais 40 cas suspects qu'examinent les juges d'instruction. Parmi eux, on compte une vingtaine de décès.

http://www.dna.fr/actualite/2017/03/11/empoisonnements-a-l-hopital-20-morts-suspectes-etudiees

Lille : le toit de la station de métro Porte des Postes s'effondre après un accident de voiture

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Le pire a été évité. Dans la nuit de vendredi à samedi, peu après 6h, une voiture s'est enfoncée dans le toit de la station de métro Porte des Postes, à Lille. Un bloc de béton s'est ecrasé à l'intérieur de la station, au niveau des escalateurs, sans faire de blessés. 
L'intérieur de la station ressemble à un chantier, rempli de gravats. Cette nuit, peu près 6h, une voiture est sortie du rond-point de la Porte des Postes, à Lille, pour venir s'enfoncer dans le toit extérieur de la station de métro. L'accident a entraîné la chute d'un pan de bêton sur plusieurs mètres, à l'intérieur de la station. Ce matin, les gravats s'étalaient encore au niveau de l'escalateur, mais la station n'a pas été fermée.

A 10h, les équipes de maintenance était sur le pied d'oeuvre pour déblayer les morceaux de béton. L'accident n'a pas fait de blessé. Les passagers de la voiture accidentée ont eux été interpellés. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-pas-calais/nord/lille-metropole/lille

Une voiture incendiée sur un terrain vague au Haut-du-Lièvre

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Un impressionnant panache de fumée visible à plusieurs kilomètres à la ronde, samedi, vers 17 h 15, sur les hauteurs de Nancy. L’origine ? Une voiture incendiée dans le quartier du Haut-du-Lièvre. Sur un terrain vague, au bas de la rue Gustave-Eiffel, entre les barres d’immeubles des Ombelles et le collège Claude-Le-Lorrain.
À l’arrivée des sapeurs pompiers de Gentilly, la petite berline - probablement une Peugeot 208 volée - était totalement embrasée. Les pompiers n’ont pas eu de mal à circonscrire le sinistre à l’aide d’une lance. Une patrouille de police était également sur les lieux pour les besoins de l’enquête.
Les policiers vont tenter, d’une part, d’identifier le véhicule et son propriétaire et d’autre part, essayer de remonter jusqu’aux incendiaires.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2017/03/12/une-voiture-incendiee-sur-un-terrain-vague-au-haut-du-lievre

Entraigues : un jeune joueur de foot victime d'un AVC sur le terrain

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Un jeune joueur de foot de Vedène s'est effondré samedi au cours d'un match qui se déroulait à Entraigues. Vers 17h, ce jeune joueur de 18 ans a été victime d'un AVC. Il a été secouru avant d'être évacué dans un état sérieux par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier d'Avignon.
Il a pu être opéré samedi soir à l'hôpital.
http://www.laprovence.com/faits-divers-en-direct

Un parapentiste trouve la mort au Pays basque

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L’accident s’est produit samedi début d’après-midi sur le mont Baïgura

Un accident de parapente a coûté la vie à un homme ce samedi après-midi au Pays basque. La victime est décédée sur le coup en tombant sur les pentes du mont Baïgura, au milieu du triangle Hélette, Bidarray et Irissary.

L’intervention d’un hélicoptère

Le parapentiste s’est élancé alors que le vent était modéré voire faible mais une entrée maritime aurait sérieusement compliqué son trajet et sa maîtrise. L’hélicoptère de la sécurité civile qui a été missionné sur les lieux avec un médecin du Samu a également eu des difficultés pour se poser avec un vent de 35 à 40 noeuds.
Le corps de la victime doit être rapatriée à l’hôpital de Bayonne.
http://www.sudouest.fr/2017/03/11/un-parapentiste-trouve-la-mort-au-pays-basque-3269431-4018.php

Un enfant s'étouffe avec un biscuit: les gendarmes le sauvent

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Les faits auraient pu tourner au drame, mais tout s'est bien terminé... grâce à un contrôle routier, racontent nos confrères de Normandie actu.

Détresse respiratoire

A Gaillon, dans l'Eure, le 5 mars, les gendarmes interceptent en effet un véhicule en excès de vitesse. Mais en fait, ils découvrent que si la femme au volant roule si vite, c'est parce qu'elle est paniquée : son fils, qui se trouve aussi dans la voiture, est en train de s'étouffer avec un biscuit apéritif. Il est déjà en détresse respiratoire.
Heureusement, les gendarmes sont formés aux gestes de premiers secours. Ils ont donc immédiatement pris en charge l'adolescent de 11 ans, qui a été sauvé
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2017/03/13/un-enfant-s-etouffe-avec-un-biscuit-les-gendarmes-le-sauvent
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